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1.
Frontiers in Communication ; 7, 2022.
Article in English | Scopus | ID: covidwho-1834366

ABSTRACT

Responsible Research and Innovation (RRI) associated with public health emergency preparedness (PHEP) and response pose major challenges to the scientific community and civil society because a multistakeholder and interdisciplinary methodology is needed to foster public engagement. In 2017, within “Action plan on Science in Society related issues in Epidemics and Total pandemics”, twenty-three initiatives in eleven cities—Athens, Brussels, Bucharest, Dublin, Geneva, Haifa, Lyon, Milan, Oslo, Rome, and Sofia—represented effective opportunities for Mobilization and Mutual Learning on RRI issues in the matter of PHEP with different community-level groups. These experiences show that to effectively address a discourse on RRI-related issues in PHEP it is necessary to engage the local population and stakeholders, which is challenging because of needed competencies and resources. Under coronavirus disease 2019 (COVID-19) pandemic, we are proven that such a diversified multistakeholder engagement on RRI related to PHEP locally needs further elaboration and practical development. Copyright © 2022 Possenti, De Mei, Kurchatova, Green, Drager, Villa, d'Onofrio, Saadatian-Elahi, Moore, Brattekas, Karnaki, Beresniak, Popa and Greco.

2.
Antimicrobial Resistance and Infection Control ; 10(SUPPL 1), 2021.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-1448319

ABSTRACT

Introduction: Accurate attribution of nosocomial COVID-19 is challenging, particularly given wide variation in incubation period. Objectives: Within the multicenter hospital-based prospective NOSOCOR project, we aimed at characterizing the determinants of nosocomial COVID-19. Methods: An observational, prospective and multicenter study was conducted in a university hospital of 5,300 beds. Any patient diagnosed positive for COVID-19, presenting with a cough and/or fever above 37.8°C, admitted to the hospital and having stayed there for more than 24 h was included. The European Center for Disease Prevention and Control (ECDC) defined nosocomial COVID-19 according to three thresholds: 48 h, seven days and 14 days. Comparison of clinical characteristics of COVID-19 hospitalized patients were performed according to the three ECDC thresholds using a multivariate analysis. Results: A total of 1078 patients were included in the study. The median age was 77 [64-86] years old and a sex ratio equal to 1.06. 996 (92.1%) patients presented at least one comorbidity, with 665 (61,7%) patients presenting a cardiac condition. In addition, 341 (45.5%) patients had a contact in a health care facility with a COVID-19 suspected or confirmed case in the 14 days before symptom onset. Patients aged above 75 (p < 0.01) and having a contact in a healthcare facility with a COVID-19 case 14 days before symptom onset (p < 0.001) were found as determinants of nosocomial COVID-19 regardless of the threshold (Table 1a, 1b, 1c). Diabetes was significantly associated with nosocomial COVID-19 (p < 0.05) when the delay between admission and symptom onset was greater than 7 days. Conclusion: Age above 75 and being identified as a contact case from a healthcare facility were found to be three to five times more at risk of developing a nosocomial COVID-19. Little heterogeneity was found in the application of nosocomial COVID-19 definition. However, in practice a balance between a sensible and specific definition taking into account population at risk would be helpful in this timely framework.

3.
Médecine et Maladies Infectieuses ; 50(6):S82-S83, 2020.
Article in French | PMC | ID: covidwho-1386274

ABSTRACT

Introduction L’infection à SARS-CoV-2 est à l’origine de syndromes respiratoires aigus sévères pouvant nécessiter un recours aux soins intensifs Un des enjeux de la pandémie survenue début 2020 est de déterminer les facteurs associés à l’aggravation clinique Le lien éventuel entre le délai d’accès aux soins et la survenue de formes sévères est mal connu L’objectif de ce travail est de décrire les caractéristiques des patients hospitalisés pour infection à SARS-CoV-2 selon le délai entre le début des symptômes et l’admission en hospitalisation, afin de déterminer les caractéristiques associées à un délai court (10jours) Matériels et méthodes Ce travail repose sur les données de l’étude observationnelle, prospective, multicentrique NOSO-COR dont les objectifs étaient de décrire les cas d’infection par SARS-CoV-2 hospitalisés L’analyse a été effectuée sur les données des cas communautaires d’infection à SARS-CoV-2 inclus au sein d’un CHU français du 08/02 au 17/05/2020 Les caractéristiques démographiques, les comorbidités sous-jacentes, les paramètres cliniques et biologiques ont été collectés Le patient a été suivi jusqu’à la sortie de l’hôpital Les comparaisons entre les groupes ont été effectuées en utilisant le test de Mann–Whitney (variables quantitatives) et le test du Chi2 (variables qualitatives) Les différentes caractéristiques associées au délai entre début des symptômes et admission en hospitalisation ont été évaluées à l’aide de régression logistique ajustée sur l’âge, le sexe, les comorbidités et les principaux symptômes Résultats Huit cent vingt-deux patients ont été inclus dans l’analyse L’âge médian était de 73 ans (IQR : 61–84), 453 (55,1 %) étaient des hommes Comparés aux patients présentant un délai court entre le début des symptômes et l’hospitalisation, les patients présentant un délai long étaient plus jeunes (médiane 68 vs 82 ans, p75 ans (p100mg/L (p=0,003), l’anosmie (p=0,008) et l’agueusie (p=0,018) Conclusion Le délai entre début des symptômes et hospitalisation semble être allongé chez les patients<75 ans et ne présentant pas de comorbidités ;cette population est surreprésentée chez les patients bénéficiant d’une hospitalisation d’emblée en soins intensifs La détection des signes de gravité et l’accès précoce à l’hospitalisation pourrait être un moyen de limiter la survenue de formes cliniques sévères

4.
Médecine et Maladies Infectieuses ; 50(6, Supplement):S81-S82, 2020.
Article | WHO COVID | ID: covidwho-726729

ABSTRACT

Introduction Le virus du syndrome respiratoire aigu sévère à coronavirus 2 (SRAS-CoV-2), détecté pour la première fois en décembre 2019 dans la province chinoise du Hubei, a été qualifié de pandémique le 11 mars 2020. La COVID-19 est la maladie infectieuse émergente due au SRAS-CoV-2, principalement associée à une infection des voies respiratoires inférieures. Une connaissance approfondie des caractéristiques cliniques des patients COVID-19 symptomatiques lors de leur admission hospitalière est cruciale pour optimiser leur prise en charge dans ce contexte pandémique. L’objectif principal de l’étude était de décrire les caractéristiques cliniques des patients COVID-19 à l’admission et d’identifier les déterminants associés à l’admission directe ou au transfert dans les unités de soins intensifs (USI) des différents hôpitaux participants. Matériels et méthodes Cette étude est un projet ancillaire du projet NOSO-COR, une étude prospective, observationnelle, en milieu hospitalier, dont l’objectif principal est d’estimer le risque de la COVID-19 nosocomiale. Les caractéristiques démographiques, les comorbidités sous-jacentes, ainsi que les paramètres cliniques et biologiques ont été collectés. Les patients ont été suivis jusqu’à la sortie de l’hôpital ou le décès. Les comparaisons entre les groupes ont été effectuées en utilisant le test de Mann–Whitney ou Kruskall–Wallis et le test du Chi2 ou exact de Fisher, le cas échéant. Un modèle de régression multivariée a été appliquée à 374 patients pour lesquels la durée de séjour d’hospitalisation était complète et sans données manquantes. Résultats Sur les 412 patients inclus, 325 (78,9 %) sont sortis vivants de l’hôpital et 87 sont décédés à l’hôpital au moment de l’analyse. L’âge médian était de 72,0 ans [IQR : 57–83] et 56,3 % étaient des hommes. Au total, 286 patients (69,4 %) avaient un ou plusieurs comorbidités dont les plus fréquents étaient les maladies cardiovasculaires (47,6 %) et le diabètes (19,9 %). Le sexe masculin (odds ratio [OR] ajusté, 1,99 [intervalle de confiance à 95 % (IC95 %) : 1,07–3,72]), la fièvre (OR : 1,37 [IC95 % : 1,01–1,88]), une auscultation pulmonaire anormale à l’admission (OR ajusté : 2,62 [IC95 % : 1,40–4,90]) et un taux élevé de la protéine C réactive (CRP) (OR ajusté : 6,96 [IC95 % : 1,45–33,35] pour CRP>100mg/L vs CRP<10mg/L) étaient associés à un risque d’admission/transfert en USI. L’allongement du délai entre l’apparition des symptômes et l’admission à l’hôpital a été associé à un risque d’admission directe/transfert en USI (OR ajusté : 4,82 [IC95 % : 1,61–14,43] pour un délai>10jours vs un délai<3jours). La présence d’une monocytopénie était également associée à un risque d’admission directe/transfert en USI (OR ajusté : 2,49 [IC95 % : 1,29–4,82]). Conclusion La présentation clinique de l’infection par le SRAS-CoV-2 lors de l’admission à l’hôpital est associée au pronostic. Le délai entre le début des symptômes et l’admission à l’hôpital doit être considéré comme un marquer potentiel d’aggravation de l’état des patients. Un suivi médical et une prise en charge appropriée dès l’apparition des premiers symptômes permettraient d’éviter les hospitalisations tardives.

5.
Médecine et Maladies Infectieuses ; 50(6, Supplement):S66-S67, 2020.
Article | WHO COVID | ID: covidwho-726704

ABSTRACT

Introduction La COVID-19, pathologie associée au syndrome respiratoire aigu sévère du coronavirus 2 (SRAS-CoV-2) a émergé fin 2019 et est à l’origine d’infections des voies respiratoires inférieures. Cette étude ancillaire, ancrée dans le projet NOSO-COR destiné à l’étude du risque nosocomial du SRAS-CoV-2, a pour but d’étudier les caractéristiques cliniques et biologiques à l’admission des patients COVID-19 hospitalisés. Matériels et méthodes Une étude observationnelle, prospective et multicentrique a été conduite dans un centre hospitalier universitaire de 5300 lits. Tout patient diagnostiqué positif à la COVID-19, présentant de la toux et/ou de la fièvre supérieure à 37,8° C, admis à l’hôpital et y ayant séjourné plus de 24heures a été inclus dans l’étude. Les caractéristiques sociodémographiques, les comorbidités sous-jacentes ainsi que les paramètres cliniques et biologiques à l’admission ont été recueillis. Une analyse descriptive et stratifiée selon l’âge (inférieur 60 ans, entre 60 et 80 ans et supérieur 80 ans) a été effectuée et réalisée avec le logiciel STATA 14.0®. Résultats Au total, 1121 cas ont été inclus dans l’étude NOSO-COR entre le 8/02 et le 10/06/2020 avec un pic épidémique atteint au 26/03/2020. L’âge médian était de 77 ans [IQR : 64–87], avec un sex-ratio de 1,06. Les patients étaient à 79,1 % hospitalisés en service de médecine, chirurgie et gynéco-obstétrique et 7,3 % d’entre eux ont été secondairement transférés en service de réanimation. Le taux d’admission directe en réanimation était de 18,4 %. Deux cent cinquante patients, dont 166 (66,4 %) âgés de plus de 80 ans, sont décédés (toutes causes confondues), soit un taux brut de létalité observée de 22,3 %. Les patients présentaient de la fièvre supérieure à 37,8°C, de la toux, une auscultation pulmonaire anormale et une dyspnée dans 82,5 %, 62,4 %, 59,3 % et 48,3 % des cas respectivement. De plus, 1031 (90,2 %) des patients souffraient de comorbidités, dont 566 (50,4 %) avec des antécédents cardiologiques. La moitié des patients inclus présentaient une lymphopénie, et 1/3 une protéine C réactive supérieure à 100mg/L. La durée médiane de séjour d’hospitalisation était différente selon les catégories d’âge, avec un séjour plus long chez les patients âgés de plus de 80 ans (4jours [IQR : 2–9] vs 8jours [IQR : 4–14] vs 9jours [IQR : 4–15], p<0,001). Les patients âgés de plus de 80 ans décédaient plus fréquemment (6,3 % vs 17,0 % vs 34,2 %, p<0,001). Les comorbidités cardiologiques, neurologiques et néoplasiques apparaissaient comme déterminantes selon l’âge des patients COVID-19 (p=0,001). Conclusion Face à l’émergence du SRAS-CoV-2, cette étude a permis de dresser les caractéristiques à l’admission des patients COVID-19 hospitalisés et d’étudier la dynamique de l’épidémie depuis l’apparition du 1er cas dans notre hôpital afin d’identifier les populations à risque et d’adapter la prise de décision clinique.

6.
Non-conventional in French | WHO COVID | ID: covidwho-726701

ABSTRACT

Introduction Comme pour les autres virus respiratoires, des cas de transmission intra-hospitalière de SRAS-CoV-2 ont été signalés. Dans le contexte d’un taux d’incidence élevé du SRAS-CoV-2 dans la communauté, une augmentation significative du taux de transmission nosocomiale est attendue. Ce risque pourrait même être plus élevé dans les pays à faible revenu qui ont des systèmes de santé plus fragiles, ceci en raison de facteurs tels que le retard de diagnostic, le manque d’infrastructures, de personnel qualifié, d’unités d’isolement et de programmes de contrôle des infections. Une meilleure compréhension des chaînes de transmission du SRAS-CoV-2 et de l’impact des mesures de contrôle dans les unités de soins est essentielle pour maîtriser la pandémie. Cette étude a pour l’objectif principal d’estimer la prévalence et l’incidence des cas suspects ou confirmés d’infection par le SRAS-CoV-2 chez le personnel soignant et les patients dans les hôpitaux participants. Matériels et méthodes Il s’agit d’une étude prospective internationale, observationnelle en milieu hospitalier. Il regroupera des patients et des professionnels de santé en France, au Brésil et dans les hôpitaux affiliés au réseau GABRIEL, un réseau d’institutions de recherche principalement situées dans les pays à faible revenu. Les données démographiques et cliniques sont collectées à l’aide de questionnaires conçus spécialement pour le projet. Un écouvillon nasopharyngé est prélevé et testé pour le SRAS-CoV-2 par RT-PCR. Une modélisation multivariée appropriée sera utilisée pour identifier les déterminants associés à la transmission nosocomiale. Résultats À la date du 12 juin 2020, 1478 patients COVID-19 confirmés et 740 professionnels de santé ont été inclus par les 13 centres Français et 368 patients et professionnels de santé ont été recrutés dans les centres internationaux. Conclusion Les résultats de ce projet fourniront des résultats originaux qui pourraient : – constituer des preuves supplémentaires pour une meilleure compréhension de la durée de l’incubation et de la période contagieuse du SRAS-CoV-2 ;– renforcer les campagnes de prévention de la transmission nosocomiale du virus ;– ouvrir la voie à de nouvelles recommandations en termes de prévention ;– compléter les recommandations existantes grâce aux données supplémentaires concernant la transmission du virus, contribuant ainsi à améliorer les directives de contrôle pour des épidémies virales respiratoires similaires. La communication des résultats aux personnels soignants permettrait de les sensibiliser sur leur rôle dans la prévention de la propagation du virus dans les hôpitaux et dans leur environnement immédiat et pourrait être utilisée pour soutenir la couverture vaccinale si un vaccin devenait disponible.

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